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29 décembre 2015 2 29 /12 /décembre /2015 00:02

 

Nouvel espace culturel, situé rue de Mars, près de l'hôtel-de-Ville de Reims,

"LE CELLIER"

a été choisi comme nom à l'emplacement des anciens celliers Jacquart.

 

Cet espace servira essentiellement à la culture, orienté vers la création jeune public.

 

Photos de l'extérieur avec sa façade classée à l'inventaire des Monuments historiques.

 

Le travail du vin de champagne y est représenté.

 

 

Porte en forme de tonneau.

Porte en forme de tonneau.

Le Cellier de Jacquart
Le Cellier de Jacquart
Un porche sur la gauche pour entrer dans les anciens celliers.

Un porche sur la gauche pour entrer dans les anciens celliers.

Le Cellier de Jacquart

 

Je vais pourtant assez régulièrement à Reims et je n'avais encore jamais vu cette belle façade des anciens celliers de la célèbre maison de champagne Jacquart.

 

La fin de l'année approche.

Passez un BON MARDI !

 

 

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9 septembre 2015 3 09 /09 /septembre /2015 23:02

 

C'était le 22 août dernier avec nos amis Béa et Jean-Claude, petite virée au château de Chambord entre autres visites.

Quelques vues que je partage avec vous.

 

 

Chambord: vues extérieures
On a rencontré énormément d'étrangers.

On a rencontré énormément d'étrangers.

Impressionnantes, les cheminées !

Impressionnantes, les cheminées !

Chambord: vues extérieures
L'angle de la tour ronde.

L'angle de la tour ronde.

Chambord: vues extérieures

 

Ce sera nos seuls trois jours d'escapades de cette année 2015.

 

D'autres photos de nos autres visites, bientôt.

 

 

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6 août 2015 4 06 /08 /août /2015 23:02

Passons aujourd’hui à l’intérieur de l’Abbaye de Valloires. Il est en contradiction avec l’autorité cistercienne. Sa décoration baroque est l’œuvre de l’autrichien Pfaffenhoffen et du ferronnier JB Veyren.

 

Je vous propose, ci-dessous, une vidéo de présentation générale de cette Abbaye de Valloires dans la Somme.

 

 

Abbaye de valloires (80).

D’abord la salle capitulaire, majestueuse aves ses colonnades. On peut remarquer toutefois un sobre carrelage.

Cette salle sert, actuellement, de salle de réception et de restaurant grâce à l'hôtellerie attenante, réception de groupes et séminaires.

Cette salle sert, actuellement, de salle de réception et de restaurant grâce à l'hôtellerie attenante, réception de groupes et séminaires.

On accède ensuite au campanile situé côté Nord pour découvrir la sacristie avec les peintures de JF.Parrocel, les sculptures de Pfaffenhoffen et le parquet Versaillais.

Sacristie

Sacristie

Salle des hôtes

Salle des hôtes

Toujours avec les décors du même artiste.

Toujours avec les décors du même artiste.

Le chœur avec le maître autel en marbre noir décoré de deux anges en plomb doré.

Choeur

Choeur

Maître autel.

Maître autel.

Au-dessus, une suspension en fer forgé en forme de palmier, œuvre de Vivarais.

Abbaye de valloires (2): regards intérieurs

Un regard vers le plafond pour regarder ces magnifiques anges suspendus.

Abbaye de valloires (2): regards intérieurs

L’un des côtés de l’avant autel.

Bas-côté richement décoré de statues.

Bas-côté richement décoré de statues.

Remarquable orgue avec son buffet entièrement sculpté en chêne et tilleul.

Abbaye de valloires (2): regards intérieurs

Une grille en fer  à double lecture forgée par le maitre-ferronnier Veyren dit le "Vivarais", sépare le chœur de la nef. Un chef d’œuvre de l’art de la ferronnerie.

Abbaye de valloires (2): regards intérieurs
Abbaye de valloires (2): regards intérieurs

Vous remarquerez, sous la croix, la célèbre « poire » emblème de cette Abbaye.

Poire sculptée

Poire sculptée

Tombe de Thérèse Papillon.

Mademoiselle Papillon est née le 10 septembre 1886 à Saint-Germain-en-Laye et décédée à l'abbaye de Valloires le 23 mars 1983. Infirmière de formation, elle s'engage dans le service de santé des armées pendant la Grande Guerre. Après l'armistice, en 1922, elle installe à l'abbaye de Valloires un établissement pour enfants et fonde l’Association de Valloires.

L’association, est reconnue d’utilité publique le 10 Juin 1925. Elle devient propriétaire de l’abbaye. Préventorium, dispensaires, accueil des enfants, cinémas, colonies de vacances, centres sociaux, aide à domicile, maison de retraite, … les créations répondent aux attentes et évoluent au regard des besoins.

 

Pendant la Seconde Guerre mondiale, en 1940, elle vient en aide, avec le personnel du Préventorium, aux réfugiés. Sous l'Occupation, elle cache des enfants juifs dans son établissement jusqu'à la Libération et s'engage dans la Résistance.

En 1962, après quarante ans à la tête du Préventorium, elle en abandonne la direction et fonde en 1964 un Foyer d'accueil qu'elle dirige jusque 1972. C'est là qu'elle décède en 1983.

Thérèse Papillon

Thérèse Papillon

Aujourd’hui, en référence à ses statuts, à son projet originel et à une tradition d’accueil de 92 années, l’association gère les activités précédemment décrites. Au cours des ans, et notamment du dernier demi-siècle, les activités gérées par l’association ont été structurées, puis reconnues et contrôlées par les Pouvoirs Publics.  De plus, l’entretien du domaine et des bâtiments, si bénéfique que soit les effets du site sur les personnes accueillies, nécessitent  d’importantes ressources complémentaires.

 

 

Elle est inhumée dans la chapelle de la Vierge, au chevet du chœur de l'abbatiale, aux côtés de son frère.

(source Wikipedia)

 

Ci-dessous, vidéo de présentation de cette femme exceptionnelle.

Présentation de thérèse papillon.

J'espère que vous avez aimé cette visite !

Découverte pour moi, en ce 10 mai 2015.

 

Je vous encourage à visiter cette Abbaye d’une part pour sa beauté, mais aussi pour soutenir l’œuvre entreprise par l’Association.

Pour admirer toute cette belle architecture, cliquez sur les photos pour les voir en grand format !

 

 

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4 août 2015 2 04 /08 /août /2015 23:02

L’Abbaye de Valloires en val d’Authie sur la commune d’Argoules dans la Somme, à la limite avec la Pas-de-Calais, a été fondée au XIIème siècle grâce aux comtes de Ponthieu. Suite à de nombreux champs de bataille, l’Abbaye fut largement détruite. Reconstruite au XVIIème et XVIIIème siècle, son architecture est simple et sobre comme le veut l’autorité cistercienne. L’Abbaye de Valloires demeure la seule abbaye cistercienne de France complète conservée dans son état du XVIIIème siècle.

 

 

Je vais vous montrer, dans ce premier article, les différentes façades.

Façade de l'entrée

Façade de l'entrée

et agrandissement vers l'Ouest.

et agrandissement vers l'Ouest.

Tout doucement, le groupe se dirige vers la partie Est de cet ensemble.

Un angle fort charmant.

Un angle fort charmant.

En se décalant un peu, on aperçoit une tour, ancien pigieonnier.

En se décalant un peu, on aperçoit une tour, ancien pigieonnier.

Au bout de la façade Est, l'église abbatiale.

Au bout de la façade Est, l'église abbatiale.

 

Sur cette façade Est, on découvre l'un des plus anciens poiriers de France, planté en 1756 lors de la consécration de l’église.

Le poirier, le long du mur.

Le poirier, le long du mur.

Vue sur le cloître.

Vue sur le cloître.

Couloir de promenade.

Couloir de promenade.

regard sur le clocher de l'église abbatiale.

regard sur le clocher de l'église abbatiale.

On s'achemine vers la sortie.

L'allée centrale est bien fleurie de roses.

L'allée centrale est bien fleurie de roses.

Au pied de la tour était le début de notre visite.

Au pied de la tour était le début de notre visite.

 

Suivez-moi dans le prochain article pour la visite de l’intérieur : la salle capitulaire, le réfectoire, la sacristie et l’église abbatiale.

 

 

N'oubliez pas de cliquer sur les photos pour les faire apparaître en grand !

 

 

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22 avril 2015 3 22 /04 /avril /2015 23:02

 

Nous voici sous les voûtes de la nef de cette magnifique Abbatiale. Excusez le manque de netteté ! Problème de mise au point.

Au-dessus de l'entrée, l'orgue de Jean Boizard (1714) domine le fond de la nef.

Au premier plan, des sièges en bois, avec l'autel du choeur au fond.

Impressionnant transept nord.

En levant les yeux, on découvre d'anciennes peintures.

 

Regard sur certains chapiteaux.

Terminons la visite en admirant ce splendide vitrail mettant en lumière Saint Michel terrassant le dragon.

 

 

Nous poursuivrons la découverte de cet immense complexe architectural la prochaine fois en

s'attardant sur le cloître.

 

 

 

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20 avril 2015 1 20 /04 /avril /2015 23:02

 

A Saint Michel en Thiérache, continuons la visite de cette église abbatiale.

Les chapelles absidales sont implantées à 45° par rapport au centre du choeur. Une particularité de cette Abbatiale. Voici les deux, côté Nord.

 

Approchons-nous du choeur. Les murs en sont revêtus de marbre.

 

Cet autel absidiole se situe côté sud.

Un regard sur la magnifique statue de saint Joseph.

"Sur la façade nord du transept, une grande rose est très remarquable par la hardiesse de ses dimensions, 7,15 mètres de diamètre hors-oeuvre. Elle éclaire le transept".

Terminons, pour aujourd'hui avec une vue sur une partie du chemin de croix qui longe les deux bas-côtés. Ici, celui du Sud.

 

 

Suivez-moi encore la prochaine fois !

 

 

 

 

 

 

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16 avril 2015 4 16 /04 /avril /2015 23:02

 

Poursuivons la visite de cette Abbatiale avec différents regards sur plusieurs vitraux des transepts ou du Choeur. Ceux-ci ont été édifiés dans le dernier tiers du XIIème et du début du XIIIème siècle.

 

 

On continuera la prochaine fois avec le Choeur splendide et quelques éléments architecturaux remarquables.

 

 

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14 avril 2015 2 14 /04 /avril /2015 23:02

 

Dans l'Aisne (02) en Thiérache, le site de Saint Michel est intéressant en tant qu'il est Bénédictin et non Cistercien comme souvent rencontré. Là des communautés y vivaient en se soumettant à la règle attribuée à Benoît de Nursie.

 

L'Abbé de Mornat dota l'Eglise d'une façade élégante et raffinée, réplique de celle de Gésu à Rome. On y remarque des motifs de la renaissance italienne comme des vases à l'antique.

L'extérieur montre une architecture monastique de grande qualité.

La nef fut construite vers 1600 à l'initiative d'un cardinal de provenance Vénitienne, Jean-Baptiste de Mornat, qui avait reçu l'Abbaye parmi les biens affectés à sa dignité et à sa charge cardinalices.

Sur le côté de la porte d'entrée, on aperçoit une peinture murale. Je ne sais ce qu'elle représente n'ayant pas écouté la guide et étant occupée à prendre des photos ailleurs.

La chaire.

L'orgue de Jean Boizard (1714) utilisé au début de chaque été lors du Festival réputé de musique baroque en partenariat avec France musique.

 

La prochaine fois, on s'attardera sur les vitraux.

 

 

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27 septembre 2014 6 27 /09 /septembre /2014 23:00

Continuons la visite de l’ancienne Chartreuse de Bourgfontaine.  La propriétaire s’attarde ici pour nous parler du petit balcon face à une fenêtre de leur habitation. Elle n’aime pas le fer forgé rajouté, à une certaine époque. Son vœu le plus cher serait de convaincre son mari de le faire disparaître, mais cela entraînerait des travaux assez onéreux. Alors, dans quelques années, peut-être !!!

 

Si notre vue se porte vers l’Ouest, un grand verger apparaît.

 

Au loin, on aperçoit une grande prairie où paissent des chevaux. Jusqu’à la Révolution, ces lieux réguliers étaient interdits aux laïcs. « S’y trouvait un petit cloître, la salle capitulaire, la cuisine, le réfectoire, la bibliothèque et un bâtiment réservé aux convers, puis le grand cloître sur lequel donnaient 24 cellules accompagnées chacune de son jardin. »

 

Les alentours sont tellement jolis avec cette verdure à plusieurs tons (comme j’aime) que j’ai pris pas mal de photos.

 

 

Les chevaux broutent tranquillement.

 

 

Retour par l’aile Est.

« L’inscription sur la liste des Monuments historiques par la commission créée en 1837 est étendue aux monuments privés ainsi qu’à ceux de l renaissance et de l’âge classique à partir des années 1920.

Quelques bâtiments de la Chartreuse de Bourgfontaine  sont inscrits en 1928 et, l’intérêt historique et architectural plaidant pour une extension de cette protection, l’ensemble des bâtiments conventuels, le mur d’enceinte et les sous-sols archéologiques sont également Inscrits à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques  (ISMH) en 2000. »

« Cette protection engage les propriétaires à poursuivre l’entretien et la restauration mais aussi la conservation d’un patrimoine qui leur a été confié, et qu’ils confieront à leur tour. »

 

On aperçoit le long chemin qui descend vers la propriété.

Dans le fond, le mur d’enceinte long de 4 km.

 

 

Dommage ! Du riche décor et mobilier de la chartreuse, il ne subsiste aujourd’hui que quelques meubles et éléments dispersés dans les églises voisines : lambris et dosserets de stalles à Meaux, lutrin en fer forgé ainsi que les statues en bois de Saint Pierre et de saint Paul dans l’église Saint Nicolas de La Ferté-Milon, les personnages d’un Calvaire et une statue de Saint Bruno à Villers-Cotterêts.

 

De nombreuses haies taillées donnent un style de jardins à la française.

Toutes ces haies taillées bordent le Nord des bâtiments d'habitation.

Elles forment ici une double rangée !

 

On revient doucement vers l'allée qui mène vers l'entrée de la propriété bâtie.

Regard vers la large allée pavée qui descend du haut de la colline.

 

Un très agréable moment passé sous un ciel bleu parsemé de « moutons blancs » à travers ces lieux chargés d’histoire. C’est sur les conseils d’un ami photographe que j’avais décidé de visiter ces haras de Bourgfontaine que je ne connaissais que de nom et pourtant  situés qu’à une vingtaine de kilomètres de chez moi. Je ne savais pas que s’y trouvait une ancienne Chartreuse. Je pensais que ce n’était uniquement qu’un haras. Nous n’avons aperçu que quelques chevaux au loin. Pour ma part, j'aurais aimé approcher un peu plus les chevaux, voir leurs installations, mais là, n'était pas le but dans cette journée du patrimoine.

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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 23:00

Continuons notre visite aux Haras de Bourgfontaine et sa partie patrimoine.

 

Regard sur la façade Nord de l’église.

Nous arrivons (nous étions 18 à suivre les explications de la propriétaire) face aux ruines de l’église.

 

Cet édifice était voué à Saint Louis de Toulouse.

Face Ouest en enfilade jusqu’à l’Est.

Explications au centre de la nef allongée en six travées.

 

Restes des imposantes fenêtres.

Au revers de cette façade Ouest, on distingue le tracé d’une voûte en berceau lambrissée.

 

Une ouverture (aujourd’hui murée) dans le mur nord permettait au roi de suivre les offices sans troubler le recueillement des religieux.

Chœur polygonal épaulé de contreforts.

Nous sortons pour un dernier regard vers la façade Est.

 

Nous poursuivrons la visite dans le prochain article.

 

 

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  • : Depuis le 10 juin 2007, émotions photographiques perçues dans mon Sud Picardie natal: faune, flore, macrophotos, paysages de l'Aisne. Reportages évènementiels, associatifs, expos photos. Voyages, tourisme, Régions de France. L'insolite au passage et créations pour le plaisir! Humour, poésie, musique, ...
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