Dernier volet de la visite de ce Palais Impérial, château de Compiègne.
Tout d’abord, le salon de musique. Dans un décor architectural qui évoque le XVIIIè siècle, l'ameublement de cette pièce a été choisi par l'impératrice Eugénie. Deux tapisseries de la fin du XVIIè siècle voisinent avec des éléments de mobilier XVIIIè siècle, empire et modernes, mélange éclectique très représentatif du décor et du goût du Second Empire. C'est dans ce salon que la souveraine recevait, pour ses célèbres thés, les personnalités qu'elle voulait distinguer.
Le mobilier, provenant des appartements de Marie-Antoinette à Saint-Cloud, illustre la passion de l'impératrice Eugénie pour la vie de la reine de France.
Aménagée au Premier Empire, la bibliothèque conserve notamment un bureau mécanique et un mobilier réalisé par l'atelier de Jacob Desmalter. Le plafond est orné d'une peinture de Girodet : Minerve entre Apollon et Mercure. Une porte dissimulée par de faux livres donnait accès aux appartements de l'Impératrice. C’est une pièce intermédiaire entre les salons de représentation et les appartements du Souverain.
Le corps de bibliothèque est un meuble en acajou et bois doré. Œuvre de Jacob-Desmalter (1808). Sièges de bois doré, tables pliantes d’acajou.
Les ouvrages conservés dans la bibliothèque dispersés en 1889 ne constituent pas le fonds de l’Empereur. Ils ont pour la plupart été déposés par la Bibliothèque nationale à partir de ses réserves de fontainebleau et ont été mis en place après le passage du Tsar Nicolas II à Compiègne en 1902.
Nous n’avons pu photographier les autres pièces, les photos étant interdites. Il aurait fallu prendre un ticket spécial à ce que l’on a pu comprendre.
Si on allait au restau demain !
Avec Annick, on a profité de cette visite du Palais Impérial pour prendre le repas de midi
dans un des restaurants de Compiègne.
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Merci !