Au château de Pierrefonds, ce 30 septembre 2015, il était possible de voir la magnifique exposition intitulée "Armures, hennins et crinolines".
Les créateurs de costumes d'opéras et de ballets ont choisi là, un endroit prestigieux pour montrer leurs créations inspirées du Moyen-Âge.
"Vérité historique stylisée et extravagance pure" dans des univers légendaires.
La "FANTASY" y est tout en esthétique.
Cette exposition présente trente costumes et des accesssoires de théâtre prêtés par les plus grandes institutions françaises: Opéra national de paris, Théâtre du capitole de Toulouse, Opéra national de Bordeaux.
Dans le salon de réception: "TILL L'ESPIEGLE".
Ballet de Nijinsky.
Costumes réalisés en 1994 dans les ateliers du palais garnier.
Prêt de l'Opéra national de Paris.
Le ballet raconte les facéties d'un garnement.
Toujours dans ce salon de réception: "Le Château de Barbe Bleue".
Opéra de Béla Bartiok.
Décors et costumes de daniel Ogier réalisés dans les Ateliers du Théâtre.
Ci-dessous, la coiffure de Judith et sa grande collerette évoquent l'architecture des cathédrales gothiques.
Dans la salle des expositions temporaires, quelques histoires de costumes.
De nombreux panneaux explicatifs.
Je ne vous en montre que certains d'entre eux pour éviter trop de photos.
Dans la salle des Preuses, de nombreuses crinolines de l'opérette de Johann Strauss.
Pour faire revivre les séries d'invitations où se pressent aristocrates, hommes d'état, artistes, écrivains et savants dans la palais de compiègne et le château de Pierrefonds.
A la Cour, comme dans toute la société, règne la folie du théâtre.
Toujours dans la salle des Preuses, est représentée "La Célestine" Opéra de Maurice Ohana.
Tous les costumes vus dans cette salle ont été créés entre 1927 et 1988. Pas de vérité historique absolue.
Coupe du vêtement, fluidité, arrondi des décolletés, motifs décoratifs évoquent le Moyen-Âge, mais les costumiers ont conservé leur liberté d'interprétation.
Cette exposition a été réalisée en partenariat avec le Centre national du costume de scène, Moulins et la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine.
Ce fut pour moi un réel plaisir que de voir toutes ces magnifiques créations.
Je vous proposerai, ces prochains jours, de me suivre à nouveau, toujours au château de Pierrefonds dans l'Oise et de découvrir les salles intérieures.
Voir l'extérieur du château dans mon article précédent
Au château de Pierrefonds, ce 30 septembre 2015, il était possible de voir la magnifique exposition intitulée "Armures, hennins et crinolines".
Les créateurs de costumes d'opéras et de ballets ont choisi là, un endroit prestigieux pour montrer leurs créations inspirées du Moyen-Âge.
"Vérité historique stylisée et extravagance pure" dans des univers légendaires.
La "FANTASY" y est tout en esthétique.
Cette exposition présente 30 costumes et des accessoires de théâtre prêtés par les plus grandes institutions françaises ( Opéra national de paris, Théâtre du Capitole de Toulouse, Opéra national de Bordeaux).
Le Roi d'Ys est un opéra d'Edouard Lalo.
Les costumes sont de franca Squarciapino, réalisés dans les Ateliers du Théâtre.
Dans le salon de Réception, c'est la présentation de "Till l'Espiègle", ballet de Nijinsky et musique de Richard Strauss.
Les costumes sont ceux des trois châtelaines, la bourgeoise riche et la bourgeoise.
Tiré d'un récit populaire, le ballet raconte les facéties d'un garnement.
Formes et dimensions des costumes sont exagérées, toutefois, un travail d'authencité a été préservé.
Toujours dans le salon de Réception, cotumes du "Châteaude barbe Bleue", opéra de Béla Bartok. Prêt de l'Opéra national de Bordeaux.
La coiffure de Judith, dernière femme de Barbe Bleue, avec sa grande colerette évoque l'architecture des cathédrales gothiques.
Quelques explications sur l'histoire de ces costumes.
Dans la salle des Preuses, s'étalent de nombreux costumes d'inspiration médiévale.
En voici quelques-uns présentés sous forme de patchwork.
Ci-dessous costume de "La célestine", opéra de Maurice Ohana.
Conception du costume: Francesco Zito 1988.
Prêt de l'Opéra national de Paris.
Dans la salle des Preuses, tous les costumes présentés sont dinspiration médiévale et ont été créés pour des spectacles de l'Opéra de Paris entre 1927 et 1988.
Ils ne sont pas d'une vérité historique absolue.
Coupe du vêtement, fluidité, arrondi de décolleté, motif décoratif s'en inspirent.
Cette exposition fut réalisée en partenariat avec le centre national du costume de scène, Moulins et la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine.
Une exposition temporaire qui a amené de nombreux visiteurs du 15 avril au 18 octobre 2015.
Je fus émerveillée par tous ces trésors. J'espère que vous avez également apprécié !
Prochainement, on continuera la visite des autres salle de ce magnifique
château de Pierrefonds dans l'Oise.
Lors du Festival de l'Oiseau 2015, au Crotoy (80), les photos du concours russe de l'édition 2014 m'ont beaucoup plu. Elles étaient présentées, pour la première fois en France. Sous la GLOBAL ARCTIC AWARDS, elles mettent en valeur les particularités de l'Arctique.
Regardez la beauté de ces oiseaux !
Comment ne pas tomber sous le charme de cette scène entre mère et fille !
Il a sans doute fallu des heures d'attente pour pouvoir capturer un tel moment intime entre ces deux ours.
Le froid extrême ne devait pas arranger la prise de vue.
Il y avait bien d'autres clichés captivants. Je ne pouvais tous les prendre.
Si, un jour, vous voyez une pub de cette expo près de chez vous, je vous conseille d'aller la voir si vous aimez être au contact des animaux sauvages de l'Arctique.
Au Crotoy (80) lors du Festival de l'Oiseau 2015, ce 1er mai, je me suis attardée sur les photographies de Bastien RIU.
C'est surtout une vision de la photographie nature qu'il nous propose. Différente de ce que l'on voit plus couramment, la représentation est plus créative. Le graphisme donne des images originales.
Je vous laisse un moment en sa compagnie.
J'ai agrandi le tableau que l'on voit au centre du mur ci-dessus.
Cette vision dans ces élans de fumée est quand même incroyable.
Quel regard !
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Ensuite, c'est un trio de photographes qui a exposé et attiré mon attention:
Marie-Thérèse et Serge MATHIEU et Julien PONCET.
Grâce à des affûts flottants, ils ont exploré les étangs du Forez en toute saison. Brume matinale ou douceurs de fins de journée: on entre facilement dans ce monde pour le plaisir des yeux.
Quelques détails.
Qui ne rêverait pas d'obtenir un telle photo de martin-pêcheur !
C'est par ce chevalier aboyeur que je termine mes différents regards aujourd'hui.
La prochaine fois, ce seront quelques photographies d'un concours-photo que je vous proposerai pour le plaisir des yeux.
N'oubliez pas de cliquer sur les photos pour les lire ou les voir en grand format !
Continuons la visite de ces expos au Crotoy le 1er mai 2015 lors du festival de l'Oiseau.
Aujourd'hui, ce sera Rémi GARCIA que je vais mettre en lumière grâce à ses magnifiques photos.
J'ai véritablement eu un coup de coeur pour cet artiste.
"MADININA", est le titre de son expo, du nom de l'île de la Martinique en langue Caraïbe. L'île présente un biotope particulier abritant une flore et une faune variées. On y découvre un bon nombre d'espèces pour certaines endémiques et, pour d'autres, malheureusement menacées.
Ci-dessous, plusieurs regards sur ses oeuvres.
J'ai vraiment adoré toutes les photos de cet artiste.
La netteté, le jeu des ombres et des lumières, l'originalité des présentations, la diversité des sujets, ...
Bref, c'est ce genre de photos que j'aimerais réaliser !
Transmettre la beauté environnante tout en esthétisme.
D'autres photographes, la prochaine fois.
N'oubliez pas que vous pouvez cliquer sur les photos pour les agrandir !
J'y suis allée à partir de 10h le 1er mai 2015. C'était lors du Festival de l'Oiseau.
Beaucoup de photographes exposaient sous chapiteaux à l'entrée de la ville.
Quelques-uns ont retenu mon attention.
Aujourd'hui, je m'attarde sur les photographies de Brigitte RAMEL et d'Etienne LENOIR.
Brigitte RAMEL présente une sélection de portraits de mantes religieuses dans des attitudes qui leur sont caractéristiques.
C'est cette élégance dans les poses que j'ai fort appréciée.
Etienne LENOIR nous fait découvrir et admirer la faune sauvage entre Ardennes et Gaume, sa région.
Suivez-moi la prochaine fois pour la deuxième partie de ce volet concernant les expos qui ont attiré mon attention !
N'oubliez pas de cliquer sur les images pour les voir en grand !
Pour ceux et celles qui seraient sur paris ou en périphérie, une belle idée de sortie.
Chantal de Colombel (créatrice de bijoux) et Dub (sculpteur de la nature), deux artistes connus, près de chez moi, y exposent.
Dub était présent au salon d'automne à Château-Thierry en décembre dernier. Je vous en avais parlé DANS UN ARTICLE ICI.
Bastien MILLAN est le cinquième artiste présent au Silo U1 à Château-Thierry (02) à l’expo « Peinture et Photographie » visible jusqu’au 31 janvier.
Bastien aime jouer du va-et-vient entre la peinture et la photographie.
Je l’ai connu lors d’ateliers qu’il organisait à la médiathèque de Château-Thierry. Nous travaillions, il y a déjà plusieurs années de cela, sur des ordis connectés les uns aux autres afin de se perfectionner à la retouche-photo grâce à des logiciels. J’avais été impressionnée par la dextérité qu’il possédait à créer des effets, à rajouter des éléments, à travailler sur plusieurs clichés à la fois. Malheureusement, les ateliers ont changé de place pour aller vers une autre ville de l’arrondissement encore plus éloignée de chez moi et j’ai cessé d’y participer. Il me reste quelques bribes d’apprentissage bien loin des nombreuses possibilités que les logiciels peuvent apporter. Je garde un bon souvenir de Bastien toujours très abordable et sachant se mettre au niveau de chacun.
Les prises de vue de Bastien lui servent pour peindre ses modèles.
Par des technologies numériques les plus avancées, il brouille notre lecture des nus.
Voici comment il explique sa technique relationnelle entre la photographie et le dessin et la peinture.
Une autre influence, celle de ses parents, retoucheurs photo pour la presse et la publicité.
En 1995, premier ordinateur et première découverte de la puissance du logiciel Photoshop. La possibilité de dessiner grâce à une tablette graphique lui fait mettre de côté sa pratique de la
peinture.
Ici deux portraits tirés numériquement sur aluminium, Plexiglas. Anwen en 2013.
Bastien a scanné des tableaux en cours de réalisation puis a assemblé les morceaux. Ensuite peinture sur les tirages. La peinture sur écran a précédé le dessin totalement de manière digitale.
Ici, au Silo u1, les pixels des photos ne proviennent pas d’un appareil photo numérique mais d’un stylet, exactement comme l’aurait fait un pinceau sur un tableau.
Voici Olga en 2014 prise d’abord en clichés numériques d’en haut d’un escabeau.
J’ai fait quelques retouches hors cadre (avec Photoshop elements 12) pour uniformiser le mur. Ceci pour montrer à Bastien cet article sur facebook et les quelques manipulations que je sais faire.
Quelques précisions sur mes cinq reportages :
Je ne vais pratiquement jamais aux différents vernissages auxquels l’on m’invite. Première raison, ma timidité et mon manque d’assurance face à des artistes primés. Je ne saurais me « fondre » au milieu du public et poser les questions adéquates.
Seconde raison, le brouhaha général ainsi que le « monde » empêchent de voir les œuvres en toute tranquillité et les apprécier sereinement.
Je préfère venir quand j’ai du temps libre pour parcourir l’expo de long en large.
J’ai d’ailleurs été très aimablement accueillie par le gestionnaire et guide des lieux qui m’a donné des explications sur les artistes, fourni un livret de l’expo et conseillé d’assister à une projection vidéo sur l’évolution de la photographie depuis son origine. Des renseignements fort intéressants que j’ai pu savourer d’autant plus que j’étais seule, en ce matin du samedi 20 décembre dernier. Dommage pour cette personne ! Je n’ai pas eu la présence d’esprit de lui demander son nom. Il attendait un public plus nombreux dans l’après-midi. En effet, m’a dit un ami photographe rencontré plus tard, les visiteurs privilégient l’après-midi plutôt que le matin.
Précisons qu’en dehors des heures d’ouvertures habituelles, des accueils exceptionnels sont aussi prévus pour des groupes en ateliers ou des visites guidées gratuites sur rendez-vous.
Ouvert les mercredis et vendredis après-midi (14h-18h) et le samedi (10h-12h / 14h-18h).
Entrée libre.
A Château-Thierry (02), Ced VERNAY interpelle le visiteur d’une manière particulière à l’expo « Peinture et Photographie » visible jusqu’au 31 janvier.
L’image pixélisée désoriente le spectateur. Faut-il s’en approcher ou s’en éloigner ? C’est d’ailleurs tout le dilemme entre le flou et la netteté que tout photographe essaie de maîtriser à sa
convenance.
Quelques renseignements sur cet artiste.
Toutefois, ce portrait ne s’en trouve pas trop altéré à mon goût. Le charme de l’imperfection.
Pas de haute définition pour ces trois personnages. Le pixel est un élément perturbateur. Tant pis pour la perfection !
Ce « Jesus after Carnaval » a reçu des confettis.
Par contre, il est vrai que de loin, ces six tableaux semblent des images presque naturelles.
Si l’on s’approche de l’un d’eux, cet autoportrait de l’artiste lui-même, démontre bien la technique soignée de l’ouvrage. Un travail d’orfèvre qui demande une infinie patience.
Le regard s'habitue. Un autre portrait.
Là, la main de l’artiste a recréé l’image. Au bout d’un instant, nos yeux font une certaine mise au point pour se rapprocher vers ce que l’on pense être l’original. Arrive-t-on à reprendre le dessus sur la machine ?
Prochain et dernier article sur cette expo : l’univers de Bastien Millan.