Là, elles sont toujours habitées et même en très bon état. Il suffit de parterres de fleurs pour les rendre encore plus jolies. Le chaume de la toiture est constitué de paille de blé, de seigle ou de tiges de roseaux. En Bretagne, la construction est en pierre, avec un faîtage en matériau dur. Actuellement, les chaumières sont très recherchées pour leur caractère typique. Elles sont souvent rénovées pour être transformées en gîte rural ou en hôtel pour les plus spacieuses. Les vraies chaumières deviennent de plus en plus rares en raison des matériaux utilisés pour la construction.

Béatrice (IRIS) séjournait en Bretagne avec ses deux petits-enfants Ema et Hadrien avec qui elle passait des vacances pendant deux semaines. La troisième semaine s’est déroulée chez son amie Danielle. Une fille sympa que j’ai eu l’occasion de connaître aux 60 ans de Béa. Là encore, des bisous envoyés par carte postale qui font plaisir à recevoir.

C’est de cette petite ville dans le département du Var et la région Provence-Alpes-Côte d’Azur que s’élève ce qu’on appelle « Le Rocher » là où les premières maisons se sont construites. La situation géographique de la commune, entre mer et montagne (massif des Maures et Massif de l'Esterel), permet une activité touristique importante. Le pôle des Issambres bénéficie d'une activité nautique de premier plan, entre le port de plaisance, les plages et le centre national de ski nautique. Le tourisme vert profite des zones boisées de la montagne de Roquebrune, point culminant de la commune, permettant au massif des Maures de dominer l'embouchure de l'Argens. La commune est arrosée par l'Argens, ainsi que par l'un de ses affluents, le Blavet. L'Argens alimente, depuis la construction de l'autoroute A8, une ancienne gravière, devenue lac de loisir, le Lac de l'Aréna. Au sud, se situe la mer méditerranée.

C’est là tout près de la garrigue que Jeanine et René accompagnés de leur chienne, la célèbre Cannelle, habitent et aiment se promener. Des fidèles de mon blog depuis plusieurs années ! Toujours un mot gentil sur mes articles. Ils ont suivi avec intérêt l’avancement des travaux du gîte et, à l’occasion, ils envoient une carte par simple amitié. Un coucou sympa sans oublier de saluer Daniel au passage. Merci Jeanine et René de votre présence quotidienne ! Un vrai réconfort !

Toujours sur les traces des escapades de mes amis blogueurs, cette fois-ci nous sommes en Auvergne au pied du Puy de Dôme avec la carte de mon amie Andrée. Une région magnifique qui a ravi son regard et je sais combien il est aiguisé ! Une plongée au cœur de la nature sauvage qui lui a permis de se ressourcer. Son APN sait retransmettre la sensibilité qu’elle possède à fleur de peau.

Le Puy de Dôme a reçu le label « Grand site de France » en 2008 et c’est l'un des sites les plus visités d’Auvergne. Notamment, de nombreux deltaplanes et parapentes décollent des flancs de l’ancien volcan. De nombreux sentiers de randonnée permettent d’accéder au sommet à pied. Plusieurs étapes du Tour de France y ont eu lieu. Mais, le Tour n'est plus arrivé au puy de Dôme depuis 1988 en raison d'un différend financier entre les organisateurs de l'épreuve et les propriétaires du volcan et, selon la société du Tour de France et selon les élus locaux, le Tour ne pourra plus y arriver compte tenu de l'étroitesse de la route et de la construction du train à crémaillère.

Merci ANDREE pour ce petit coucou fort sympa à l’occasion de ta belle échappée !

Dans les Alpes Maritimes, Menton est la dernière ville avant la frontière italienne. On la surnomme la « Perle de la France ». Avec un climat méditerranéen très doux, les citronniers poussent facilement. D’ailleurs le citron est l’un des symboles de la ville. A remarquer, le clocher de la Basilique St Michel. De nombreuses ruelles pittoresques traversent le Vieux Menton.

C’est de là qu’Annick, amie blogueuse de Guyane, m’a envoyée cette carte lors de son séjour en métropole l’an dernier. Gentille attention avant son départ alors que nous nous étions rencontrées peu avant près de chez moi sur le domaine de Coucy le Château.

Sur une façade à Espelette même en Pays basque. Quel contraste ce rouge du piment avec le blanc des murs ! Originaire d'Amérique du Sud, cette variété de piment a été introduite au Pays basque au XVIè  ou au XVIIe siècle. La plante est d'abord utilisée en médecine puis, très vite, comme produit de substitution du poivre noir, condiment et conservateur des viandes.
En 1650, on commence à cultiver des piments à Espelette. Les graines sont sélectionnées par les paysans donnant naissance à la variété rustique Gorria, servant à la production du « piment d'Espelette ».

Une jolie carte postale envoyée par agathe, amie blogueuse des environs de Vichy dans l’Allier. Une correspondance qui date du début de nos blogs respectifs. Une délicate attention que j’apprécie.