De son nichoir, le long d'une tour, ce pigeon (sans doute un pigeon biset) s'éloigne à tire d'ailes pour retrouver un peu plus loin ses congénères sur un toit.
Une autre série demain!
Passez un bon mercredi !
De son nichoir, le long d'une tour, ce pigeon (sans doute un pigeon biset) s'éloigne à tire d'ailes pour retrouver un peu plus loin ses congénères sur un toit.
Une autre série demain!
Passez un bon mercredi !
C'est un petit oiseau de proie à bec court et recourbé à la base.
Celui-ci est un faucon crécerelle femelle avec la tête et la nuque chatain clair et aussi quelques rayures d'un brun foncé.
Elle me fut présentée par son dresseur au parc animalier de Pradinas en Aveyron.
Si vous aimez les animaux de toutes sortes, alors suivez-moi cette semaine !
Bisous à tous et bon mardi !
"C'est l'eau qui fait le cygne. Qui veut faire le cygne sans l'eau fait l'oie."
(Gilbert Cesbron)
Passez un bon dimanche !
Sur les bords de la Marne à Château-Thierry (02), vendredi 30 janvier des mouettes virevoltaient.
J'ai réussi à suivre celle-ci qui tenait sa pitance dans son bec pour venir se restaurer au bord de la rive.
Passez un bon week-end !
Ouahhh ! Que ça fait du bien de décrocher !
Pour mon équilibre, j’avais besoin de récupérer. La préparation des articles (traitement des photos, leur hébergement, leur rapatriement sur mes articles dans OB, les recherches, la présentation, …), les visites sur les blogs me «bouffaient » tout mon temps. C’était difficile à gérer et j’avais l’impression d’étouffer. J’avais besoin de recul par rapport au monde virtuel.
Alors, programme allégé au rythme de mes envies était à l’ordre du jour.
Plusieurs balades pour cueillir la nature à son réveil. Parcours de quelques revues photographiques où j’ai glané des p’tits trucs au passage. Je n’ai pas oublié d’admirer les 365 clichés de Doisneau, un recueil acheté pendant les fêtes ainsi que les œuvres très humanistes de Gérald Bloncourt. Je me suis attardée sur des textes de Poilus écrits sur cartes postales. Après avoir vu le spectacle à la Butte Chalmont, je voulais retrouver une partie du dialogue (bien souvent trop édulcoré) de ces simples soldats avec leur famille.
Deux nouveaux livres sont en cours de lecture : le premier, la biographie de « France Gall, le destin d’une star courage », car ceux et celles qui me suivent depuis presque 20 mois savent combien j’aime cette chanteuse à la fois comme artiste et aussi en tant que femme.
Le second est celui de Françoise Hardy, « Le désespoir des singes et autres bagatelles » :
une chanteuse que j’ai appréciée dès sa chanson « Tous les garçons et les filles de mon âge » sortie en 1962, je crois, et qui m’a bouleversée en tant que toute jeune adolescente à ce moment-là. Elle gardera ce parler « direct » en toutes circonstances ; je retrouve cette sincérité parfois un peu abrupte dans ce livre, mais je la considère comme une qualité. Femme singulière qui traverse le temps sans prendre une ride et garde sa jolie silhouette élancée, Françoise Hardy est restée une idole pour moi.
Lecture de quelques films en DVD (Charlie Chaplin entre autres), un choix de programmes télé que je ne regardais plus depuis un bon moment, …, et me voilà à nouveau parmi vous.
Et là, agréable surprise. Super vos visites pendant ma pause ! Durant cette semaine, avec mes articles d’hiver au Québec, certains ont été « glacés », « frigorifiés » tandis que d’autres ont savouré. Vous êtes venus me voir alors que je ne suis pas allée sur votre blog. Quelle générosité ! Auparavant, parfois je me disais : « Pas de com posté, pas de com en retour ». Je me suis largement trompée.
Encore un grand merci pour votre fidélité !
Elle me va droit au cœur.
Le virtuel est quand même une belle famille où les RDV de blogs en arrivent à être une véritable amitié.
Que tirer comme leçon de ce moment de pause ? Qu’il me faut savoir réguler mon temps devant l’ordi. Je crois que je vais espacer mes publications à trois ou quatre par semaine. Elles seront plus courtes, avec moins de photos et quand il y a reportage, il sera coupé en plusieurs parties diffusées en plusieurs fois, une sorte de feuilleton. Je passerai chez vous bien sûr, mais pas toujours le jour même et mettrai des coms en fonction de mon temps disponible. Une manière d’éliminer mon stress des coms « non rendus ». Ce que je sais, c’est que j’irai vous voir à tour de rôle en lisant les articles non vus car, chez chacun j’ai « trouvé » le p’tit truc qui me plaît et ne voudrais en aucun cas m’en passer. Je crois que c’est le meilleur moyen de « savourer » plutôt que de passer sous la contrainte du temps.
Pour vous remercier, je vous propose l’une de mes dernières captures d’oiseaux en pleine nature cette fois-ci (et non face à ma fenêtre dans notre terrain) dans les champs près d’un hangar agricole,
celle de ce joli rouge-gorge
qui s’est laissé prendre sous toutes ses coutures alors qu’il faisait très froid et que le vent soufflait en me glaçant tout le corps.
J’espère que vous apprécierez ce cadeau !
Je vous souhaite un bon jeudi
et suis heureuse de vous retrouver.
Première fois que je vois un pic épeiche de si près. D'ailleurs c'est sur le talus en face de chez nous que je l'ai aperçu et c'est derrière la fenêtre de la cuisine que j'ai essayé de le prendre en photo. Comme il était très occupé à picorer dans les menus branchages, je l'ai « mitraillé » pour le prendre sous toutes les coutures tellement j'étais heureuse de « capturer » un si bel oiseau.
Le voilà vu de l'arrière avec des plumes rouges qui dépassent.
Le pic épeiche vit dans les forêts et les zones boisées de toutes sortes, les haies d'arbres, les vergers, les parcs et les grands jardins, depuis la taïga arctique jusqu'aux régions méditerranéennes.
Le bec puissant et pointu est noir. Les yeux sont foncés, entourés d'une fine bande blanche. Les pattes et les doigts zygotactiles sont grisâtres.
La femelle a la calotte noire. Donc, là, je crois que c'est un mâle car on aperçoit bien du rouge sur sa tête.
Le pic épeiche se nourrit plutôt dans les arbres, sur les troncs et les grandes branches. Il peut aussi se nourrir sur le sol, mais c'est plus rare. Il ne s'éloigne jamais des arbres.
Il travaille en allant vers le haut du tronc, mais aussi d'un côté à l'autre, tapant dans l'écorce pour extraire la nourriture des crevasses avec le bout de sa langue collante. Il tourne autour du tronc, sans doute pour ne pas se laisser observer.
Ce pic a une nourriture très variée, constituée de petits invertébrés, de graines et de fruits. A la bonne saison, il consomme essentiellement des insectes qu'il trouve en explorant les troncs et les branches, et le lichen des acacias à l'arrière saison.
Bon samedi à vous tous, amis visiteurs !
En ce vendredi 9 janvier, sur la Marne à Château-Thierry (02), quelques canards et cygnes vaquaient à leurs occupations malgré la froidure extérieure.
L'un des cygnes, sans doute pour se faire remarquer, (là, j'embellis un peu le contexte), s'amusait avec son cou à faire des ronds dans l'eau.
Demain, je vous propose de jouer avec "ombres et lumières".
Bon mercredi à vous tous !
Bien sûr, je ne les ai pas mis en cage !
Juste à l'intérieur de mes tableaux.
Ces quelques réalisations (à partir de mes photos bien sûr)
en cadeau de début de semaine.
Avez-vous une préférence ?
Passez une bonne journée !
Madame sautille de branche en branche et se fait admirer
sous tous les angles.
Un petit gif venant de chez KRI
Parmi les oiseaux qui viennent picorer les graines ou la graisse accrochée aux arbres de notre terrain, la sittelle est la moins peureuse mais en même temps la plus vorace. Je l'ai photographiée sous toutes les coutures derrière mes vitres qui donnent sur les bouleaux de notre terrain.
Voici quelques renseignements trouvés sur Internet.
La Sittelle torchepot (avec légère poitrine rousse) a le doigt postérieur démesurément long et la queue tronquée.
L'hiver, elle se nourrit surtout de graines de cônes de conifères. À l'aide de son bec robuste, elle ouvre les écailles et en extrait les graines qu'elle dévore gloutonnement après avoir arraché l'aile de la graine.
Chez moi, elle se contente de prendre les graines de tournesol en premier puis quelques autres quand celles-ci manquent sur mes bacs à fleurs.
Des morceaux de suif, des graines écrasées et des noix hachées attirent les sittelles, pendant l'hiver. Souvent, elles accumulent cette nourriture en la cachant dans les fentes de l'écorce d'arbres voisins. Cette habitude, qui se manifeste chez plusieurs espèces d'oiseaux, aide probablement ces derniers à survivre lorsque les provisions se font plus rares au milieu de l'hiver.
La tête en bas, le long du tronc et des branches, ce doigt lui permet de bien s'agripper, et une queue trop longue lui nuirait.
Les Sittelles à poitrine rousse sont agressives et se querellent souvent aux mangeoires, mais elles se laissent facilement apprivoiser.