Je suis allée voir "Danse avec les aigles", le nouveau spectacle avec les aigles du château médiéval de Château-Thierry (02).

"Aux anges" j'étais ! Formidable spectacle !

Très bonne initiative de la ville que j'approuve.

21 août 2010 en après-midi, direction l’esplanade du château médiéval !

Les rapaces m’ont toujours, à la fois, attirée et impressionnée. Parmi eux, l’aigle, cet « Oiseau de Jupiter » comme le nommait Jean de La Fontaine dans sa fable « Le corbeau voulant imiter l’aigle ». La majesté, la puissance, la grâce de ces volatiles étaient au rendez-vous de ce spectacle de fauconnerie intitulé « Danse avec les aigles » et la troupe de fauconniers passionnés par leur art et leurs oiseaux de proie a su donner de l’ampleur à ces vols en totale liberté.

Sur l’esplanade du Vieux château, toujours libre d’accès au public qui peut s’y promener à la découverte de la ville vue des hauteurs des remparts, s’y reposer sur des bancs et même y observer et photographier des lézards, des palissades de bois s’élèvent.

A l’intérieur, des abris, perchoirs, refuges, toujours en bois, sont installés sans dégradation des lieux.

Plus d’une centaine d’oiseaux d’une trentaine d’espèces différentes y vivent. Ils viennent de la société des Aigles de Beaucaire, une ville du Midi de la France. Après 19 années de spectacles en ces lieux, le choix de Château-Thierry s’est fait après appel à projet national. Là, à Château-Thierry, être au cœur de la ville, sur les hauteurs, c’était l’idéal pour les rapaces. Gisèle Carrère, la responsable du spectacle, qui a également participé à la création de la volerie du Puy du Fou et aux Aigles de Provins, a senti qu’elle pouvait, là, faire passer favorablement un message sur la protection de ces animaux. En effet, l’environnement est primordial pour les rapaces. Les oiseaux de proie ont besoin d’un territoire bien à eux.

Depuis la mi-juillet, début des spectacles , (voir les jours et horaires sur leur site en bas d'article), les chorégraphies se succèdent et les oiseaux commencent à bien prendre leurs repères.

En 45 minutes, c’est un ballet incessant qui s’active au-dessus des têtes des spectateurs. On est plongé dans les allers et venues des ailes de ces oiseaux qui nous frôlent,

se promènent sur les bancs au milieu du public,

se posent même sur la tête de certains d’entre nous.  

Un aigle s’est posé sur ma tête pendant une bonne minute. Même pas eu peur !  

Après avoir tenu une mygale dans les mains, ainsi que des serpents, avoir photographié des araignées en gros plan, fait de la montgolfière (à Château d’ailleurs), je ne pouvais avoir peur des serres d’un aigle !!!!

Celles et ceux qui connaissent mon blog depuis longtemps, savent que je suis un peu « casse-cou ».

Pas de photo avec l’aigle sur ma tête ! Dommage !

Parfois, les rapaces ont décidé de s’éloigner et volent aux alentours avant de revenir

auprès de leurs fauconniers qui ne manquent pas  de leur donner une récompense dans le creux de leurs gants.

D’après ce que j’ai lu, Gisèle Carrère souligne que « le fauconnier est au service de son oiseau ». Ce dernier a un territoire qu’il tient à faire respecter. Il faut savoir utiliser la récompense et la doser pour bien communiquer avec l’oiseau.

Au passage, je tenais à vous montrer les magnifiques costumes portés par les fauconniers.

Présentation des acteurs : fauconniers et rapaces

Avec de vifs remerciements au public,

l’animatrice entourée des fauconniers, lance un message en expliquant toute la passion et l’amour qu’ils peuvent avoir pour leurs rapaces et que la protection de ces animaux est primordiale.

Chacun est invité à visiter la volerie,

VOIR LES RAPACES

ICI,      ICI    ET     ICI  

à se documenter grâce à des panneaux explicatifs ainsi qu’à poser des questions aux fauconniers afin de cerner ce monde peu connu.

Vraiment des gens passionnés et passionnants ! Leur site ICI .

Demain, gros plans sur ces fauconniers et certains envols pris en gros plans !

Ne loupez pas cet article !

Revenez demain !

Un petit tour sur  « ANGLE DE VUE » mon second blog et la faune et flore de notre environnement !

En ce samedi après-midi 17 juillet 2010, mon amie Annick qui adore les vieilles pierres et édifices religieux, me fit découvrir le site de l’Abbaye d’Ourscamp. Ce fut un ravissement.

Située dans l’Oise sur la commune de Chiry-Ourscamp, entre Noyon et Compiègne, cette immense propriété tenue par la congrégation des moines Serviteurs de Jésus et Marie est actuellement restaurée grâce à

l’association pour la restauration de l’abbaye d’Ourscamp (ARAO)  (leur site ICI)

en liaison avec la congrégation en demandant des aides diverses. Elle bénéficie de l’aide de l’Etat, du Conseil Régional de Picardie, du Conseil Général de l’Oise, du Pays de Sources et Vallées et des communes de Chiry-Ourscamp, Noyon et Ribécourt.

Le nom d'Ourscamp remonte à une très vieille légende; elle veut que saint Éloi, lors de la construction de l'oratoire, ait réussi à atteler l'ours qui venait de tuer le bœuf chargé de tirer le chariot. Ourscamp signifierait donc « champ de l’ours ».

La première église fut consacrée en 1134.

C’est sur l'emplacement d'un ancien oratoire (dont il ne reste rien) fondé par saint Éloi en 643, qu’une deuxième et magnifique abbatiale fut construite en communiquant avec la première. Cette abbaye Notre-Dame d'Ourscamp fut établie en 1129 par saint Bernard à la demande de Simon de Vermandois, évêque de Noyon, et cousin du roi de France Louis VI le Gros et douze moines cisterciens venus de Clairvaux.  En 1120, est construit un hôpital, un lazaret, une infirmerie dite « salle des morts » perpendiculairement à l’église. 

Elle devint l'un des plus importants monastères cisterciens de la France du Nord. En effet, le siècle suivant, l'abbaye compte déjà plus de cinq cents moines. Elle possède d'innombrables terres avec fermes et granges. Elle s’agrandit et, au XIIIè siècle, elle était longue de 102m, large de 24m et haute de 16m.

Triste sort par la suite ! L'abbaye est victime de la Grande Jacquerie de 1358 au cours de laquelle elle est pillée et incendiée. Il ne reste aujourd'hui que les vestiges du chœur ponctué de superbes arcades dressés à ciel ouvert.

Les quelques grandes étapes qui suivirent :

Entre 1677 et 1745, Ourscamp est réédifié, le logis abbatial est transformé pour lui donner une façade classique.

La Révolution chasse les derniers moines en 1792. L'abbaye fut vendue comme bien national et devint la propriété du surintendant des finances, Claude Pierre Maximilien Radix de Sainte-Foy (1736–1810). Il fit abattre en partie l'église abbatiale pour créer un paysage romantique très en vogue à l'époque et transforma la façade de ce qui devint le « château ».

Le domaine fut racheté en 1825 et fut transformé en filature de coton.

Lors de la Première Guerre mondiale, l'abbaye, occupée par les Allemands, est bombardée par les Alliés en février 1915.

Le comte Biver acquit le domaine en 1940 et le confia à la Congrégation des Serviteurs de Jésus et de Marie fondée en 1930 par le père Jean-Édouard Lamy.

Site : http://www.serviteurs.org/

Voici quelques clichés pris en cet après-midi ensoleillé.

Une description succinte accompagne les clichés.

La monumentale grille en fer forg é date de 1784 et a été largement remaniée au début du XIXè siècle.

L’allée centrale mène à la cour d’honneur.

A droite, l’aile dite « de Lorraine » (XVIIè siècle) ruinée par le bombardement de février 1915.

Je ne l'ai pas photographiée; trop de voitures gênaient pour la prise de vue.

Au centre, pavillon composite. A l’origine, il s’agissait d’une façade d’église.

Un ours monumental orne le haut en souvenir de la légende de l’ours.

A gauche, l’aile dite « de Gesvres » (1748) autrefois logis de l’abbé commenditaire, actuellement logement des religieux.

Les anciens communs de l’abbé plus sur la gauche, datent du 18è siècle.

Au-delà du portail central, les restes du chœur de l’abbaye d’Ourscamp qui existèrent pendant six siècles.

Traces du portail monumental, d’escaliers en colimaçon, chapiteaux, voûtes, rosace, arc-boutant, …

Du côté du transept Nord, deux petites chapelles avec dans l’une d’entre elles, une magnifique statue de Marie « la Vierge Puissante », intronisée en 1983.

Dans le chœur gothique, l’autel en pierre mis en place en 2009 rappelle la destinée de ce chœur à ciel ouvert : la gloire de Dieu.

Restes des arcades du cloître et puits à l’angle Nord-Ouest.

Bâtiment principal d’habitation qui se composait autrefois d’une sacristie, d’une salle du chapitre, d’un dortoir, … C’est là que se tenait la filature.

Ce vaste bâtiment, construit en 1240, servait d’infirmerie conventuelle. Elle a été transformée en chapelle depuis le début du XIXè siècle après la destruction de l’abbatiale.

Je n’ai pu la visiter car des choristes étaient en pleine répétition. Je retournerai sur ces lieux à l’occasion et vous montrerai quelques clichés de l’intérieur.

Pour terminer, des clichés de l’immense parc avec ses arbres centenaires.

Au passage, des moines en train de vaquer à leurs occupations !

L'ensemble des ruines de l'abbaye fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1840^. L'extension de la protection, comprenant les bâtiments conventuels et leurs dépendances, les terrains alentour et la grille d'entrée, fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 16 juin 1943. Des ajouts récents complètent le classement d'origine : les douves sèches, ainsi que l'ensemble des murs de clôture de l'abbaye fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 6 juillet 2004. Le portail médiéval de la basse-cour, quant à lui, fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 9 septembre 2004.

Pour les horaires des visites :

Abbaye Notre-Dame 1 place Saint Eloi 60138 CHIRY-OURSCAMP 03 44 75 72 14  ou abbaye.ourscamp@wanadoo.fr

Des macro photos sur mon autre blog en ce moment !

 "ANGLE DE VUE"

En ce dimanche 8 août, j’avais décidé d’aller à nouveau visiter le château de Condé en Brie (02). J’avais noté que notre quotidien régional « L’UNION » de Reims annonçait une animation particulière nommée « Fêtes galantes » au château.

Rien que le titre m’attirait et je ne fus pas déçue. La troupe de figurants  « LE BOSQUET » (leur site ci-contre)  organisait pour le week-end une reconstitution de la vie en 1765. La vie au siècle des lumières : lever, déjeuner à la française, jeux, danses, ….

Pour cet évènement, la famille Pasté de Rochefort avait ouvert le parc

et les pièces du château à la troupe qui déambulait en costumes et accessoires d’époque. Exceptionnellement, les visiteurs avaient le droit de prendre en photos l’intérieur des salles du château.

Aymeri de Rochefort, que j’ai croisé dans l’un des couloirs, veillait au bon déroulement de cet évènement.

Avec mon amie Annick (qui ne connaissait pas du tout l’endroit), nous avions décidé de visiter en premier les salles du château. Passé le hall d’entrée, nous voilà au pied de l’imposant escalier qui mène aux appartements.

Au passage, dans les couloirs, nous avons croisé la marquise de Lachaux Montauban, affairée pour le départ à la chasse ainsi qu’une dame de compagnie.

Un peu plus tard, à l’extérieur, très vite, nous nous sommes aperçues, en cet après-midi ensoleillé, qu’il y avait de l’animation dans le parc. C’était le retour de chasse qui s’effectuait. Il ne faut pas oublier que nous sommes en 1765 sous le règne de Louis XV deux ans après la fin de la guerre de 7 ans. En 1761, la marquise de Lachaux Montauban, sans enfant de son mari, s’était séparée officiellement. La voilà à Condé où le propriétaire a invité ses amis à passer les 7 et 8 août dans sa propriété.

Les serviteurs et servantes s’affairent pour dresser un déjeuner de fin de chasse dans le parc.

Nous voici en plein dans l’intemporel. Alors que nous, les visiteurs du XXIè siècle nous nous éparpillons à la découverte des lieux, nous côtoyons, au détour de notre flânerie,  des personnages du siècle des lumières en train de vaquer à leurs occupations sans se soucier de nous.

Quelques scènes « volées » de ces instants de vie à l’ombre des arbres plusieurs fois centenaires du parc.

Bonne idée qu’ont eu là  les maîtres des lieux, la famille Pasté de Rochefort !

 Site du château de Condé en Brie ICI.

Une animation toute récente grâce aux membres de l’association  « LE BOSQUET ». Leur site Facebook ICI.

Le château de Condé, Demeure des Princes ! N’hésitez pas à aller y faire une visite ! Des personnages illustres y sont évoqués comme les Condé, les Savoie, La Fontaine ou Richelieu. La découverte des fresques de Watteau, l’histoire passionnante d’Olympe et ses « poudres » mystérieuses, de somptueux décors des XVII ème et XVIII ème siècles, …. : vous serez conquis par le charme de cette demeure!

Mon autre site photos "ANGLE DE VUE" ici !

Foule des grands jours à Château-Thierry (02) pour cette 50^ème édition des « Fêtes Jean de La Fontaine » !

Il fallait une notion « forte » pour marquer cet évènement. Le thème « des quatre éléments » (l’eau, la terre, l’air et le feu) retenu cette année est comme une plongée au cœur de la trame des fables. Notre célèbre fabuliste plaçait souvent les personnages de ses fables dans les bois, prés, forêts, la nature en général comme cadre naturel.

C’est autour de 10 chars et 11 formations musicales que le défilé du dimanche après-midi 27 juin 2010 s’est articulé. Il a fallu des heures et des heures de travail pour la confection des fleurs en papier et la construction de l’armature de chaque char. Outre plusieurs associations locales, des comités des fêtes de villages ou bourgs des environs ont participé à cette manifestation.

Tandis que le FAR WEST DE L’OMOIS donnait ses exhibitions place de l’hôtel de Ville sous un soleil de plomb,  

les visiteurs s’amassaient le long des rues et du pont enjambant la Marne et en profitaient pour acheter des ballons et confettis pour les enfants.

Avec l’expérimentation des nouveaux ronds-points, place La Fontaine, j’ai dû me décaler par rapport aux autres années pour prendre les photos. Le début du pont avec la rue Carnot en enfilade et la mairie en me retournant vers la rue du Général de Gaulle me permettaient de « bouger » autour du rond-point au milieu duquel trônait un avion de la première guerre mondiale en honneur aux aviateurs qui ont combattu dans la région.

Le groupe KA’RAÏB (groupe folklorique antillais) proposé par l’association panafricaine de l’Omois ouvrait le défilé.

Le carrosse du fabuliste s’approchait ensuite avec de jolies demoiselles à son bord. Jean de La Fontaine ayant préféré marcher au milieu de la foule et saluer ses admirateurs.

L’Union musicale de Château-Thierry arriva à pas cadencés derrière son drapeau à l’effigie « Nul ne s’y frotte » armes de la ville.

Char « L’hirondelle et les petits oiseaux » du Comité des Oeuvres sociales de la ville symbolisant le vers « Voyez cette main qui, par les airs, chemine ».

La joyeuse troupe tout de vert vêtue des « BARGEOTS DE  JARGEAU » (Loiret) a donné beaucoup d’animation aux sons de leurs rythmes très scandés.

« Un agneau se désaltérait dans le courant d’une onde pure. » : célèbre vers de la fable « LE LOUP ET L’AGNEAU » mis en valeur par ce char présenté par les « Boutiques de Château-Thierry ».

Voici la Fanfare de Laon (notre chef-lieu de département)

« Les vents me sont moins qu’à vous redoutables » pour illustrer « LE CHÊNE ET LE ROSEAU » présenté par l’Association « Brasles Demain ».

Les Trompettes de cavalerie « L’Alouette de Pithiviers (Loiret) » arboraient de beaux costumes rouges.

« Vive la gent qui fend les airs » a servi de thème au char « La chauve-souris et les deux belettes » présenté par l’association « Martel en Fête ».

Le somptueux habit avec bicorne de la batterie fanfare de Villers-Cotterêts (02) avec son chef à la jolie moustache grisonnante.

Le quartier du Parchet à Fère-en-Tardenois a choisi « Entre les pattes d’un lion un rat sorti de terre » pour illustrer le char intitulé « Le Lion et le Rat », fable si connue par sa morale « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage ».

Arrive la batterie fanfare « La Jeanne d’Arc de Roncq » (Nord) dans un costume traditionnel.

A nouveau Fère-en-tardenois, mais cette fois-ci avec le quartier de l’Ourcq avec son char « La Colombe et la Fourmi » sur ces vers : « Le long d’un clair ruisseau buvait une colombe quand sur l’eau se penchant une fourmi y tombe. ».

Un géant du Nord s’avance au loin.

Sa silhouette se détache bien et devance la troupe des « Pères la Joie » de Saint Pol sur Ternoise (Pas de calais).

Un âne accompagne les danseurs au son de la grosse caisse.

Rondes et pas de danses pour cette troupe habillée en meuniers.

Leur moulin n’est pas bien loin d’ailleurs !

« Le Pot de terre et le Pot de fer » du quartier du Centre de Fère-en-tardenois (02) sur ces mots « disant qu’il ferait que sage de garder le coin du feu ».

Le défilé se poursuit avec « Les Trompettes Dijonnaises » (Côte d’Or), fanfare de cavalerie.

Etampes-sur-Marne, proche de Château-Thierry, présente, avec son comité des fêtes,  le char « Le cerf se voyant dans l’eau » et son vers « Dans le cristal d’une fontaine un cerf se mirant ».

Arrive la célèbre Fanfare de Chézy-sur-Marne avec sa grosse formation de blanc et rouge vêtue fort applaudie par le public.

Pendant ce temps les chars se dirigent vers l’Hôtel-de-Ville où la foule est de plus en plus compacte.

Neuilly-Saint-Front (mon canton) et son comité de la foire aux Pommes ont mis en scène le char « Le Singe et le Chat » avec comme vers de référence « «Si Dieu m’avait fait naître propre à tirer marrons du feu ».

Tout de bleu roi vêtue, la Batterie fanfare d’Oulchy le Château (02) fait son avancée.

Elle précède « La Tortue et les deux Canards » toujours du Comité de la foire aux Pommes qui illustre le vers « Nous vous voiturerons par l’air en Amérique ».

« Black Knight et les Opalines de Denain (Nord) évoluent ensuite sur des pas de danse pour terminer ce défilé.

A l’arrière la foule suit très compacte.

Le défilé continue son trajet vers la place de l’Hôtel de Ville, le long du Marché Couvert et dans d’autres rues de Château-Thierry.

Devant la statue de Jean de La Fontaine,  devant la Poste, 

Dans l’avenue de Soissons, le long de la Marne, au rond-point de la Girafe.

De nombreux applaudissements tout au long du parcours comme ces spectateurs et cette Dame participant au défilé.

Bravo à tous les organisateurs avec, cette année, Philippe Dellac à la présidence du Comité des Fêtes Jean de La Fontaine!

A noter, durant ces 50 ans, une seule édition a manqué ! Celle de 1998 pour cause de Coupe du Monde de football !

Et pour moi, record de plus de 100 photos retravaillées pour la mise en forme de ce reportage !!! Un travail titanesque !!!! Mais les 50è Fêtes Jean de La Fontaine valaient bien ce grand coup de chapeau de ma part !

Un évènement dans notre PAYS DU SUD DE L’AISNE !

SITELLE mon deuxième blog purement photos!!!! Cliquer sur son nom en blanc ! Un encouragement pour la photographe amateur que je suis ! Merci !

A bord d'une montgolfière, en ce samedi 26 juin 2010, à l'occasion des Fêtes Jean de La Fontaine, j'ai survolé une partie de l'Ouest de Château-Thierry et notamment la commune de Montreuil-aux-Lions.

Devant nous la montgolfière aux couleurs de la Picardie a rasé le haut des toits du village.

Un joli petit bourg où j'aime aller quand il y a une brocante.

Ensuite, nous nous sommes dirigés vers Cocherel où nous avons atterri. Voir les deux articles précédents pour le départ et le survol depuis Château-Thierry.

Un insecte petit et frêle, pas facile à photographier chez SITELLE  aujourd'hui.